La parole à l'organisateur
Preparatio Mortis aborde le tabou de la mort pour l’envisager comme force d’énergie positive : « La mort nous pousse à avoir une vision plus complète, plus intense sur la vie », explique Jan Fabre. La mort est exhibée sous la forme d’un décor sublime qui semble respirer et prendre vie à mesure qu’une danse féline, puis furieuse ressuscite l’interprète – suivant aussi la respiration de la musique comme en apesanteur composée, pour orgue, par Bernard Foccroule.