La parole à l'organisateur
« Badke » renvoie à « dabke », une danse populaire du Moyen-Orient, ici au cœur d’une pièce enlevée, point de rencontre entre artistes belges et palestiniens. Les 10 interprètes, venus d’horizons très différents (hip-hop, capoeira, folklore, contemporain…) s’en donnent à « corps » joie, alternant vastes mouvements de groupe et moments plus intimistes. Si le spectre de la tension politique plane parfois sur cet ouragan chorégraphique, la fraternité dans la danse devient le meilleur message pour conjurer l’orage.