La parole à l'organisateur
" Ni le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face " . Patrick Kermann impose un démenti spectaculaire à cette sentence, lui qui a fait de la mort le sujet solaire de ses pièces (La Mastication des morts).
Du cimetière marin où elle a été engloutie, la voix d'un petit garçon plongeur du Titanic remonte pour délivrer son flot de poésie vivifiante.