La parole à l'organisateur
La photographe colombienne Karen Paulina Biswell propose une plongée poétique dans la cosmogonie des Emberá-Chami, l'un des nombreux peuples amérindiens représentés en Colombie.
En partenariat avec le Musée d'Aquitaine dans le cadre de « Colombia, la guerra que no hemos visto ( La guerre que nous n'avons pas vue) ».
[Photographies | Colombie]
Du mercredi 9 décembre au vendredi 29 janvier 2016
Galerie 650
ENTREE LIBRE / Du lundi au vendredi de 14:00 à 18:00 et les soirs de concerts.
Emberá comme « peuple », Chami comme « cordillère ». En suivant pendant plusieurs mois Lindelia et Albeiro dans les rues de la capitale, deux jeunes parents issus de la communauté indigène, Karen Paulina Biswell a commencé à travailler avec les Emberá-Chamis dans une approche sociale et politique, avant de se rendre sur leur territoire et de développer un travail sur leur cosmogonie, au travers de mises en scène et de paysages qui se définissent par une forme intérieure, absolument libre, appartenant au perspectivisme de ce groupe ethnique autochtone.
www.karenpaulinabiswell.com
Et aussi au Musée d'Aquitaine, Bordeaux
« Colombia, la guerra que no hemos visto ( La guerre que nous n'avons pas vue) »
Décembre 2015 – mars 2016
L'exposition La Guerra que no hemos visto (La guerre que nous navons pas vu) est le résultat d'un travail exceptionnel, mené par l'artiste plasticien Juan Manuel Echavarría au sein de la fondation Puntos de Encuentro, qu'il a fondée en 2006 à Bogota. Cette fondation vise, au moyen de l'art, à « inciter, appuyer et montrer au public des projets qui préservent la mémoire historique de la guerre en Colombie ». À partir de 2007 et pendant deux ans, Juan Manuel Echavarría a invité les acteurs de la guerre à participer à des ateliers de peinture, en leur fournissant le matériel nécessaire pour raconter leur expérience du conflit.
www.musee-aquitaine-bordeaux.fr
En partenariat avec le Musée d'Aquitaine Bordeaux.