La parole à l'organisateur
Devil for the Fire, le 5e album de Vundabar est inspiré de plusieurs lectures sur la neuroplasticité et de nombreux films noirs, l'album invite à s'interroger sur la réalité et la perception, soulignant finalement le pouvoir de la seconde sur la première. Chacun est une opportunité de croissance, de stagnation ou de destruction complète, mais le libre arbitre est ce qui modifiera la réalité. De plus, il se concentre sur les cycles - un arbre devient un bateau, un esprit devient une main puis un couteau - qui fait allusion au changement inévitable et à la ductilité de la vie.