La parole à l'organisateur
À l’aube d’une ère où il devient nécessaire de trouver d’autres carburants, comment créer le contexte propice à la création d’une dynamique commune ?
Quatre danseuses, une musicienne et plusieurs jerricanes sont au centre de la place. Elles tracent des lignes au sol ces danseuses de rue, corps vifs et regards ardents. Elles sont en état d’alerte, averties. Regards circulaires adressés. Elles prennent la place. Elles prennent de la place. Elles nous déplacent. En
permanence dans l’échange, elles s’affirment femmes puissantes de mille manières. Telle une meute louvoyante, elles traversent une tempête qui pointe à l’horizon. Elles nous invitent alors à prendre part à cette ode chorégraphique, pour se mobiliser comme pour lâcher prise, un désir de mouvement, un besoin de collectif. De quoi avons-nous fondamentalement besoin ? De carburant. De qui-vive !
Spectacle précédé de l’inauguration du festival
Tout public