Celestial…

Annulé
Jusqu'au dimanche 08 novembre 2020
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Grand Théâtre
de 25 à 50 €
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La parole à l'organisateur

Ballet
Lors de trois représentations exceptionnelles, les danseurs du Ballet de l'Opéra National de Bordeaux proposent quelques-uns des plus grands pas de deux du répertoire. Une technique et une virtuosité à couper le souffle, mariant rêve, poésie et émotion portés par un piano enchanteur et l'archet enflammé du Premier violon supersoliste de l'ONBA Matthieu Arama. La recréation de Celestial, ballet de Garrett Smith, initialement prévue au printemps 2020 complète ce programme de haute tenue.
« Celestial fait référence au nom d'un royaume spirituel dans la théologie mormone. On pense que c'est un lieu spirituel après la mort. Je crois que tout le monde a un esprit qui vivra après la mort. C'est l'endroit que j'imagine qu'on crée sur scène quand on voit les danseurs. C'est un lieu sacré, de paix, de bonheur et de pureté où la famille et les amis sont réunis. J'ai choisi une belle musique chorale pour ce ballet. Ces morceaux de musique viennent tous des premiers temps de la musique tels que la Renaissance, le baroque et le médiéval. A l'origine ce ballet avait été créé en 2017 avec 2 mouvements distincts pour le Mariinsky Ballet. Je crée maintenant plus de mouvements pour prolonger ce ballet à Bordeaux, et aussi avec un plus grand nombre de danseurs. J'ai toujours imaginé Celestial avec un grand corps de danseurs sur scène vêtus de blanc. » Garrett Smith, mars 2020

PROGRAMME
Production Opéra National de Bordeaux

AUTOUR DU VIOLON - EXTRAITS
Raymonda, pas de deux ; chorégraphie d’après Marius Petipa
Raymonda, variation ; chorégraphie d’après Marius Petipa
Raymonda, pas de cinq ; chorégraphie d’après Marius Petipa
La Bayadère, premier pas de deux ; chorégraphie d’après Marius Petipa
La Bayadère, pas de deux dit du « foulard » ; chorégraphie d’après Marius Petipa
Sylvia, variation fille ; chorégraphie d’après Louis Mérante
Sylvia, pas de deux ; chorégraphie d’après Louis Mérante
Spartacus, pas de deux ; chorégraphie d’après Leonid Jacobson